Bon, c'est pas grand chose, mais voilà ma dernière création :

Sèche tes larmes, mon enfant,
Le temps du chagrin est fini !
Réjouis-toi maintenant,
Profite donc de ta vie !

Oublie-le, laisse le,
Car s'il a vu sa vie sur un autre chemin
Alors il n'est plus sur le tien
Avance et abandonne-le !

Vole désormais de tes propres ailes
Avances, va de l'avant, fonces !
Car tu laisse derrière toi ce buisson de ronces.
Va plus loin, vers ta vie nouvelle.

Oublie-le, laisse-le.
L'épine dans ton pied est partie,
L'entrave est tombée, c'est fini.
Avance et abandonne-le !

Nul besoin de courir jusqu'au bout
Nul besoin de voir défiler le sol sous tes pieds
Car pour continuer dans la joie vers ta liberté,
Il suffit de sourire, un sourire, et c'est tout.

Cela me satisfera amplement
Car je saurais alors que tes plaies
guérirons avec un peu de temps.
Alors ouste, peine, du balai !

Ton cœur à saigné,
Tes larmes ont coulé,
Mais aujourd'hui, ça suffit,
Il te faut avancer sans lui.

Prends la main que je tends
Je t'entraînerais vers des chemins verdoyants
Ou les arbres bordant cette voie de la vie
Retiendrons tous tes soucis.

Avance sans te retourner
Va contre vents et marées
N'a de cesse que d'aller jusque bout,
Ta meilleure défense ? Un sourire et c'est tout.

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Je m’enfonce dans les ténèbres de mon âme,
Et cela, j’en porterai toujours seul le blâme.

Je me suis enfermé dans le silence,
Je me suis entravé dans ma bêtise.
J’écoutais ma tête quoiqu’elle dise,
J’ignorais mon cœur et ses évidences.

Je suis passé à côté de ma vie
Faute de gestes et de mots, elle s’en est allée,
Faute de gestes et de mots, elle m’a oublié.
Pourtant je savais qu’elle était ma mie,

La seule dont la présence curait mes maux,
La seule à avoir de l’importance à mes yeux,
La seule à être pour moi comme bénie des dieux,
L’unique être qui me gardait hors de l’eau.

Mais c’est un rêve qui prend soudain fin,
Et un cauchemar qui commence, coup du destin.
Ma vie perd ses couleurs, et prend fin, c’est certain.
Car survivre sans elle n’est pas humain.

Comme quoi on peut tout gâcher, même sa vie,
Pour une crainte, un silence, un non dit.

Lui dire qu’elle compte plus que moi
M’est désormais à jamais impossible,
Celle qui me met dans tous mes états
M’est maintenant, et pour toujours, inaccessible.

Mais je l’aime, je l’aime, je l’aime ,
Jamais on ne m’ôtera ces mots là,
Que je n’ai jamais pu les dire devant mon âme sœur,
Parce que le fer rouge les a ancrés dans mon cœur.

Je sais qu’un jour, j’arriverai à me dépasser,
Ce jour là, j’aurai donc vaincu ma lâcheté,
Ce jour là, j’arriverai à tout lui avouer,
Peut être alors, aurais-je eu raison d’espérer !

****************************************************************************

L'ombre passe dans tes yeux
Et tu abandonne ton sourire radieux
Il t'a à tout jamais quitté.
Et j'ai senti ton coeur se serrer
J'ai voulu te consoler,
Mais jamais tes larmes n'ont cessé de couler.
Je n'ai pu ni soulager ton fardeau,
Ni le prendre sur mon dos.
Alors je suis parti,
Mais tu m'as souri
et t'u m'as dit
Ce mot que je n'ai pas compris
Un simple merci.

Ouaouh ! Je trouve ça très beau Octa !
Mes felicitations ^^

Merci ! J'en ai d'autres si tu veux ! Hop, mis à jour !xD

La peur s' installe


Je suis seul dans cette ruelle que j’ arpente…elle est si sombre,
On me suit, je le sens…un bruit ! Quelle est donc cette ombre ?
Je panique, je hâte le pas, je n’ ose me retourner,
Sentiment étrange, je frissonne, mon corps se met à trembler.

La peur m’ envahit, petit à petit…mais de qui ? De quoi ?
Une montée d’ adrenaline, je réprime un cri d’ effroi.
Mais que se passe t-il, suis-je atteinds par une phobie ?
Ma démarche est hésitante. Pétrifié…est-ce cela qu’ on appelle la folie ?

Je respire fort, je me reprends, prêt à affronter mon démon,
Je me retourne…je veux faire face à cette appréhension.
Rien, la nuit, le silence, pas un bruit…immobile, je reste à l’ écoute,
J’ attends, tout mes sens en éveil, afin de balayer le moindre doute.

Cette attente est intenable, je transpire, je suffoque…le souffle haletant,
Le fruit de mon imagination serait-il la seule cause de cet affolement ?
Je reprends ma route, à peine soulagé, je suis toujours aussi effrayé,
Une chose est sûre, plus jamais je ne laisserai la peur me posséder…


M.Aquila.


Je pense à tout ce que la peur va posséder et j'ai peur, c'est justement ce que la peur attend de moi.

Citation: Alexandre O'Neill, mon inspirateur^^

Rencontre avec le froid.


Je suis seul et l’immensité de la forêt qui m' entoure me glace le sang,
Le manteau blanc qui recouvre cette nature est pourtant étincelant.
La neige, fidèle amie de mon enfance s' est transformée en ennemie,
Chaque pas est un effort, je lève les yeux vers les flocons et l' infini.


La solitude du moment est une véritable torture,
Je n' entends que mon coeur battre la mesure.
Engourdi, je ralentis, mais que je trépasse si je faiblis,
Ma volonté me pousse à me battre pour la survie.


Le vent glacial souffle de plus en plus fort et me gèle,
C' est alors que j' entends les arbres, ils m' appellent,
Leurs branches craquent sous le poids des flocons tombant du ciel,
Beauté, à cet instant, de cette nature si belle, mais si cruelle.


Le souffle lourd, je cède et dépose un genou à terre, je vois ma vie défiler,
Le froid gagne du terrain et plonge mon corps dans des abymes sans fin.
Mon cri se perd dans le néant, personne ne viendra alors que la nuit va tomber,
Maintenant allongé sur le dos, je me sens partir, voilà donc mon triste destin.


Derniers battements, derniers souffles, contre le froid, je perd mon dernier combat,
J’entends les cloches du monastère, mais il est trop tard, je ne ferai plus un pas.
Le clocher, mon dernier compagnon de route, m’ accompagne et sonne mon glas,
Le froid étreint maintenant mon cœur, étreinte mortelle qui me fait passer de vie à trépas…


M.Aquila.

Oui, ce ne sont pas deux poèmes très joyeux^^, mais j' en ai fais de bien plus chaleureux.

Superbe Mety ! Je les trouve très beau^^


Bien meilleurs que les miens...xD

Je te remercie Octavius

La poésie libère l' auteur, et la magie des mots et de la vie, il n' éxiste pas de poésie meilleur qu' une autre

Putain c'est clair Mety ! C'est sublime ! Surtout le second !
Pourquoi tu ne fais un poème tel, à ma gloire, lorsque je te fouette dans les cachots hein ?

Merci maîtresse Chest.

En revanche, je ne vois pas à quoi tu fais allusion...

Le soleil et la vie.


De l' aube naquit le soleil,
Dont la simple vision nous émerveille.
Il donne la vie et la permet,
Chaque jour, grace à lui, l' espoir renait.
En son absence, tout s' assombrit,
Sa disparition entrainera la fin de toute vie.
Nous sommes donc liés à lui,
Rendons lui grace de nous faire ce don,
Qu' est le fruit de la vie qui murit sous ses rayons,
Et profitons-en, car ce cadeau n' est pas infini.
Il serait donc dommage de partir ainsi,
Sans mordre à pleine dent ce fruit qu' est la vie.


M.Aquila.

Un peu plus enthousiaste pour finir sur une note plus joviale ^^

*o* trop beau !

Blanche et pure comme le diamant
Rêve de tout enfant
Tu éblouis tout l'hiver
Écartant ainsi tout la misère

Fraiche comme la rosée
Douce comme l'hyménée
Tu nous éblouis de ta beauté
Et tu voles nos instants de liberté

Toi qui est si belle
Incomparable au soleil
Tu illumines nos vies
Nous fait oublier tous nos soucis.


Pieds nus dans l'herbe fraîche,
Effaçant tous mes souvenirs revêches
Je me contente de ce plaisir démodé
De courir dans la rosée.

Transportée par tant de bonheur
Je cueille une fleur
Couleur des flammes de mon cœur
Et me laisse envahir par sa senteur.

Rassurée par la nature
Qui permet de refermer les blessures
Je m'endors, apaisée
Dans cet univers magnifié.


Ô nature, puissante et majestueuse,
Toi, ni sotte, ni orgueilleuse,
Tu nous protèges, de toute ta splendeur,
Et prends sur toi une part de nos malheurs.

Toi, qui est si belle,
Tu me semble si irréelle,
Tu nous entraine dans un univers magique,
Où notre vie, notre bonheur paraissent magnifiques

Mais, tu peux être si mystérieuse,
Ce qui peut te rendre dangereuse,
Pour une personne aventureuse.

Moi, tu me permets de rêver,
A ma vie future, à l'être aimé
Afin de fuir ce monde où l'on aime la cruauté.

Petite contribution de m part ^^

Très belle contribution en tout cas !

Il suffit maintenant! Des poèmes des poèmes!... C'est bien beau mais qu'en est-il des joutes?

Ca vous tente?

Développe^^

Héhé...

Une joute verbale. Les inscrits s'affrontent avec des vers sur un thème donné. A la fin il n'en reste qu'un

ça peut être intéressant, je suis partant ! et c'est très bon pour le développement du champ lexical et donc l'amélioration de nos rps !^^

Ils sont sublimes vos poèmes les poètes *o*

Et Aïtana j'adore ton idée \o/

"Il suffit", ma chère Aïtana est une expression typique Metallesque. Il en a les droits copyright.

A tous ceux qui me pousse, à tous ceux qui me brûlent,
A tous ceux qui m'ennuient, à tous ceux qui me hurlent
Que la vie est injuste, qu'elle nous fait tous pleurer
A toutes ses personnes, j'ai envie de crier
Que la vie, aujourd'hui, c'est à nous de la faire
Que pour agir, ils feraient mieux de se taire,
Qu'il ferait bien de rire, au lieu de chialer
Car ce n'est pas aujourd'hui que le monde va changer

Tous, aujourd'hui, nous avons des soucis
Tous sont importants, qu'ils soient grands ou petits
C'est pour ça que pour moi, aujourd'hui
On doit tous se serrer les coudes, être amis,
Et tous les soucis qu'un de nous peut rencontrer,
Ensemble nous pourrons les affronter
Ainsi un grand cercle nous pourrons former,
Où nous pourrons nous soutenir, nous protéger.

Vengeance d'une femme trahie.

Tu m'a abreuvé de mots tendres
J'ignorai leur véritable signification,
On me disait «tu sais à quoi t'attendre»
Tout n'était qu'illusions.
Je t'ai aimé plus que tout au monde
Le feu de la passion me brulait.
Mon âme devenue vagabonde
Dans les méandres du désir s'égarait.
Je t'aurai donné ma vie et mon sang
Tout en moi t'appartenais,
Mais pourtant
Ton masque est tombé
J'ai vu le monstre en toi
Celui qui a meurtri mon être tout entier
Et me glace d'effroi.
Tu me disais «je t'aime ma chère»
Je te croyais sur parole.
On m'avait pourtant dit
Que tu jouais un rôle,
Tu as volé mon cœur
L'a brisé en mille morceaux.
Je n'ai plus que de la rancœur
Pour ce que tu vaut.
Je voudrai tant t'oublier
T'effacer de ma mémoire.
Mais tu m'a intensément marqué.
Il n'y a plus d'échappatoire,
Si seulement j'avais vu
Avant, le vice
Caché sous ton masque de vertu
Je n'aurai jamais fait ce sacrifice.
Pourquoi t'ai-je aimer
Toi mon bourreau?
Je t'ai tout donné
Et toi en cadeau
Tu m'avais offert un cadeau empoisonné
Le dégout de l'amour.
Ma vie devenue enfer, le restera pour toujours.
Pour toi j'ai versé tant de larmes.
Tu m'as tant fait souffrir.
Dans mes mains l'arme prête à te punir.
Tu auras beau te mettre à genoux
Me supplier de t'épargner
Tu recevras le coup
Qui me feras t'oublier.
Vas en Enfer
Démon de la passion.
Pour toi pas de prières
Ni de rédemption.
Ta mort sera ma seule délivrance.
Jamais je ne pourrai le regretter.
Tu m'a emmener vers la déchéance
A réussit à me faire tomber.
Je suis celle qui va te détruire.
Ma vie tu l'a brûlée.
N'essaye pas de t'enfuir
Ton destin est scellé.

Spoiler: